Oui, mais seulement lorsque le Comité constate que le montant d’1 milliard d’euros ne suffit pas à indemniser l’ensemble des dommages subis ou lorsque le Comité ne dispose pas d’éléments suffisants pour déterminer si ce montant suffit. Les décès et les dommages corporels sont alors indemnisés en priorité, viennent ensuite les dommages matériels et enfin les dommages moraux.